Les excès de vitesse sont sanctionnés par le retrait de point et par une amende en fonction de la gravité d’infraction. Cependant, comment savoir qu’on fait un excès de vitesse ? Quels sont les recours pouvant gérer une infraction d’excès de vitesse ? Cet article vous parle de cette infraction et des démarches à suivre pour la contester.
Quand est-ce qu’on dit qu’il y a excès de vitesse ?
Les excès de vitesse sont souvent à la base des accidents de circulation, des graves blessures et même parfois des cas de mort. Ils représentent plus des trois quarts des infractions routières. L’excès de vitesse est puni par la loi. Si vous désirez en savoir plus pour éviter de tomber dans les mailles de la justice, vous pouvez aller à ce site web. En effet, on dit qu’une personne est en infraction d’excès de vitesse lorsque celle-ci roule à une vitesse de 40km/h au-dessus de la vitesse limite. Vous pouvez bien sûr faire des dépassements de moins de 39km/h. Mais déjà à partir de 40km/h vous êtes déjà en infraction d’excès de vitesse. Ainsi, les sanctions deviennent graves et une procédure pénale pourrait être enclenchée. Il faut retenir que vous pouvez bien rouler à plus de 40km/h. Mais ceci dépend de la zone où vous vous retrouvez. On peut aussi parler d’excès de vitesse lorsque vous êtes à 50km/h ou plus dans une zone où la limite de vitesse est de plus 60km/h à 90km/h.
Quelle est la meilleure procédure pour gérer une infraction d’excès de vitesse ?
La loi est contre les excès de vitesse. Pour sanctionner cette infraction et faciliter une bonne circulation routière, le code de la route sur l’excès de vitesse a instauré une limite de vitesse pour les véhicules à deux et à quatre roues. Si vous ne voulez pas être sanctionnés à cause d’une infraction d’excès de vitesse, la meilleure des choses à faire est d’observer attentivement les règles du code de la route. Néanmoins, en cas d’infractions relatives à la vitesse, vous pouvez contester selon la bonne procédure. Il s’agit d’adresser votre contestation dans un délai de 45 jours suivant la réception de l’avis de contravention ou bien de l’interpellation. Vous pouvez également adresser la contestation 30 jours à compter de la réception de l’avis d’amende majorée.